Cela fait maintenant deux semaines que notre skipper William Mathelin-Moreaux est revenu sur terre suite à la course de la Route du Rhum 2022 ! Vous avez pu suivre sa traversée via notre journal de bord mais nous vous invitons aujourd’hui à découvrir son aventure au travers de 8 articles et interviews du magazine Voiles et Voiliers.
William Mathelin-Moreaux : « La Route du Rhum est une expérience humaine peu commune »
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« Oui, je prépare cette Route du Rhum 2022 beaucoup plus sereinement. Ce sera ma quatrième transatlantique. Entre 2018 et aujourd’hui, je suis passé du Class40 numéro 113 au 184, il y a un gros « gap » de performances entre les deux. Je ressens aussi moins d’appréhension, je sais que je suis capable d’affronter des grosses conditions, et le bateau aussi. »
Route du Rhum. « Un casier dans la quille » : Le départ raconté par William Mathelin-Moreaux
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« En 2018, il était alors le plus jeune skipper de la flotte, se classant au final 16e sur 53 partants. Engagé par la suite sur la Rolex Fastnet Race et la Transat Jacques Vabre, il barre un nouveau Class40 signé VPLP et s’est associé à la fondation Perce neige pour promouvoir l’inclusion des personnes en situation de handicap »
VIDÉO. Route du Rhum. La cellule de vie de William Mathelin-Moreaux
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« Quatre jours après le départ de la 12e édition de la Route du Rhum et après le passage d’un front particulièrement actif hier (samedi 12 novembre), la flotte poursuit sa descente vers la Guadeloupe. Pour Voiles et Voiliers, William Mathelin-Moreaux, skipper du Class40 Dékuple nous fait visiter l’intérieur de son bateau. »
VIDÉO. Route du Rhum. William Mathelin-Moreaux : « Du près, toujours du près, encore du près »
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« Quinzième, pour l’heure, à la barre de son Dékuple, Class40 signé VPLP, le Parisien de 28 ans continue de mettre à profit l’expérience accumulée ces dernières années pour talonner les cadors en dépit des conditions de navigation pour le moins musclées. »
William Mathelin-Moreaux nous présente « Mickaël, son pilote automatique »
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« le « Mickaël » en question, que vous le prononciez à l’anglaise ou à la française, n’est pas fait de chair et de sang comme le marin qu’il épaule et soulage depuis le départ de Saint-Malo le 9 novembre dernier. Non, il s’agit ni plus ni moins que du pilote automatique qui lui permet de poursuivre son aventure au sein du peloton des Class40 de la 12e Route du Rhum. »
Route du Rhum. Atelier « réparation de spi » selon William Mathelin-Moreaux
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« William Mathelin-Moreaux, skipper de Dékuple (signé VPLP), s’est, quant à lui, lancé dans la réparation de son spi déchiré. Il en va ainsi des aléas de la mer et des épreuves de course au large. À trop tirer sur la machine pour grignoter des places ou ne pas se laisser distancer, on finit par l’épuiser. C’est le jeu ! »
William Mathelin-Moreaux, qui nous a fait partager sa course, termine 16e en Class40
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« William Mathelin-Moreaux sur son Class40 Dékuple a franchi en 16e position samedi la ligne d’arrivée à Pointe-à-Pitre de la 12e édition de la Route du Rhum. Il a coupé la ligne à 13h38 (heure française). Le temps de course de celui qui nous aura fait partager sa course à travers une série de vidéo (voir ci-dessous) est de 16 jours 23 heures 23 minutes 08 secondes. »
Route du Rhum. Mathelin-Moreaux. « Les nouveaux Class40 sont traumatisants physiquement »
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« Mon but premier était d’arriver au bout de la course. Mission accomplie ! Le bilan est positif. La course a été dure, digne de sa légende, donc je suis d’autant plus content d’arriver. Je savoure ma chance d’être ici en Guadeloupe. Il y a eu beaucoup d’abandons en Class40 cette année (18 marins ont abandonné à ce jour, sur 55 au départ de Saint-Malo, NDR), ça aurait pu être moi à plusieurs reprises. »